A l'extérieur du Japon on connaît surtout Nobuhiro Tajima pour ses engins déments et ses victoires à Pikes Peak, un peu pour les préparations de sa société Monster Sport (Suzuki Swift Sport, Mitsubishi Lancer Evo, etc), mais qui eut cru que ce créateur de machines infernales avait l'âme verdoyante d'une Cécile Duflot batifolant dans les prés ? C'est pourtant la seule chose à déduire de sa nouvelle entreprise, Tajima Motor Corporation Natural Energy. Cette entreprise reste dans le monde des 4 roues mais se consacre au développement de véhicules électriques, conversions de véhicule essence, et aussi, et c'est là que ça nous intéresse aujourd'hui, une intéressante tentative de véhicule électrique de loisir, entre le kart et la moto, mais immatriculée, nommée Tajima EV Mini Sport.
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A l'extérieur du Japon on connaît surtout Nobuhiro Tajima pour ses engins déments et ses victoires à Pikes Peak, un peu pour les préparations de sa société Monster Sport (Suzuki Swift Sport, Mitsubishi Lancer Evo, etc), mais qui eut cru que ce créateur de machines infernales avait l'âme verdoyante d'une Cécile Duflot batifolant dans les prés ? C'est pourtant la seule chose à déduire de sa nouvelle entreprise, Tajima Motor Corporation Natural Energy. Cette entreprise reste dans le monde des 4 roues mais se consacre au développement de véhicules électriques, conversions de véhicule essence, et aussi, et c'est là que ça nous intéresse aujourd'hui, une intéressante tentative de véhicule électrique de loisir, entre le kart et la moto, mais immatriculée, nommée Tajima EV Mini Sport.
Le concept proposé est d'offrir des sensations sportives pointues via la conjugaison d'un poids plume (280 kg sans les batteries), d'un châssis et de liaisons au sol sophistiquées. Si l'aspect est réussi et évoque un mélange équilibré entre la monoplace et la moto, les 75 km/h maxi revendiqués par Tajima semblent un peu maigres pour se faire peur. L'EV Mini Sport présente toutefois l'avantage d'être homologué pour la route au Japon, ce qui maximise les possibilités d'utilisation. Selon la configuration de batteries choisie l'autonomie varie entre 30 et 90 km.
Le prix de ce gros jouet ? 2.079.000 yens (16.500 euros), auquel il faut ajouter le prix des batteries : 228.000 yens pour un jeu de batteries au plomb, jusqu'à 1.610.700 yens pour la configuration maximale de batteries Lithium-polymère. Autant dire que ce n'est pas donné en regard des prestations. L'inconvénient de la production artisanale, qui réserve l'EV Mini Sport à quelques riches aventureux dans un premier temps tout au moins.
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A l'extérieur du Japon on connaît surtout Nobuhiro Tajima pour ses engins déments et ses victoires à Pikes Peak, un peu pour les préparations de sa société Monster Sport (Suzuki Swift Sport, Mitsubishi Lancer Evo, etc), mais qui eut cru que ce créateur de machines infernales avait l'âme verdoyante d'une Cécile Duflot batifolant dans les prés ? C'est pourtant la seule chose à déduire de sa nouvelle entreprise, Tajima Motor Corporation Natural Energy. Cette entreprise reste dans le monde des 4 roues mais se consacre au développement de véhicules électriques, conversions de véhicule essence, et aussi, et c'est là que ça nous intéresse aujourd'hui, une intéressante tentative de véhicule électrique de loisir, entre le kart et la moto, mais immatriculée, nommée Tajima EV Mini Sport.
