Insolite (et regrettable) : une Jaguar XJ220 à l'abandon et livrée aux outrages du temps
par La rédaction

Insolite (et regrettable) : une Jaguar XJ220 à l'abandon et livrée aux outrages du temps

En cette période fin des années 1980 et début des années 1990, le félin britannique rejoint une cour somptueuse dont sortent du lot des monstres comme la Diablo, la EB110 ou la F40. L'objectif est clair chez Jaguar : tutoyer les sommets en dévoilant une supersportive digne de son rang, fidèle aux traditions luxueuses de la marque et méchamment animée. Déboule alors une XJ200 animée par un V6 double turbo (en lieu et et place d'un V12) livrant 542 ch. Avec 4 s pour abattre le 0 à 100 km/h ou 341 km/h en v-max, la XJ220 en impose. Finalement 281 exemplaires furent produits à pratiquement 4 millions d'euro la pièce. Parmi cette production méga limitée, on retrouve une pièce (sans plaque) à Doha, capitale du Qatar. Jusqu'ici rien de surprenant tant cette région du globe concentre au mètre carré tout ce qui se fait de plus exclusif et dispendieux au sein de la production automobile mondiale. Sauf que cette Jaguar XJ220 en question est là. Seule. Comme abandonnée. Livrée aux outrages du temps et comme désespérément invisible, classique, sans âme, limite vulgaire, du sens premier populaire, enfin basique...

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En cette période fin des années 1980 et début des années 1990, le félin britannique rejoint une cour somptueuse dont sortent du lot des monstres comme la Diablo, la EB110 ou la F40. L'objectif est clair chez Jaguar : tutoyer les sommets en dévoilant une supersportive digne de son rang, fidèle aux traditions luxueuses de la marque et méchamment animée. Déboule alors une XJ200 animée par un V6 double turbo (en lieu et et place d'un V12) livrant 542 ch. Avec 4 s pour abattre le 0 à 100 km/h ou 341 km/h en v-max, la XJ220 en impose. Finalement 281 exemplaires furent produits à pratiquement 4 millions d'euro la pièce. Parmi cette production méga limitée, on retrouve une pièce (sans plaque) à Doha, capitale du Qatar. Jusqu'ici rien de surprenant tant cette région du globe concentre au mètre carré tout ce qui se fait de plus exclusif et dispendieux au sein de la production automobile mondiale. Sauf que cette Jaguar XJ220 en question est là. Seule. Comme abandonnée. Livrée aux outrages du temps et comme désespérément invisible, classique, sans âme, limite vulgaire, du sens premier populaire, enfin basique...

Dans sa livrée classique Bleu Le Mans, cette Jaguar XJ220 abandonnée et livrée à l'indifférence la plus totale ne totaliserait de surcroît que 900 km au compteur. A se demander pourquoi personne ne se penche concrètement sur son cas. Nul doute que nombre de lecteurs du blog auto aimeraient lui offrir une seconde jeunesse. Vraiment incroyable.

A lire également. A saisir : la Jaguar XJ200 du fondateur de la Gumball 3 000.

Source : Crankandpiston via Worldcarfans.

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Pour résumer

En cette période fin des années 1980 et début des années 1990, le félin britannique rejoint une cour somptueuse dont sortent du lot des monstres comme la Diablo, la EB110 ou la F40. L'objectif est clair chez Jaguar : tutoyer les sommets en dévoilant une supersportive digne de son rang, fidèle aux traditions luxueuses de la marque et méchamment animée. Déboule alors une XJ200 animée par un V6 double turbo (en lieu et et place d'un V12) livrant 542 ch. Avec 4 s pour abattre le 0 à 100 km/h ou 341 km/h en v-max, la XJ220 en impose. Finalement 281 exemplaires furent produits à pratiquement 4 millions d'euro la pièce. Parmi cette production méga limitée, on retrouve une pièce (sans plaque) à Doha, capitale du Qatar. Jusqu'ici rien de surprenant tant cette région du globe concentre au mètre carré tout ce qui se fait de plus exclusif et dispendieux au sein de la production automobile mondiale. Sauf que cette Jaguar XJ220 en question est là. Seule. Comme abandonnée. Livrée aux outrages du temps et comme désespérément invisible, classique, sans âme, limite vulgaire, du sens premier populaire, enfin basique...

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