Genève qui rit et Detroit qui pleure. Pendant que la cascade des forfaits ne cesse de grossir outre-Atlantique (avec les absences officialisées en dernier lieu de Nissan et Infiniti), un communiqué de presse des organisateurs du salon suisse annonce que le millésime 2009 affiche pour sa part déjà complet. Sans vouloir chercher la petite bête, qui n'existe sûrement pas du reste (quoique), les communicants du salon de Genève ne piqueraient-ils pas la crise américaine et ses tristes retombées sur le rendez-vous du berceau de l'auto US ?
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Genève qui rit et Detroit qui pleure. Pendant que la cascade des forfaits ne cesse de grossir outre-Atlantique (avec les absences officialisées en dernier lieu de Nissan et Infiniti), un communiqué de presse des organisateurs du salon suisse annonce que le millésime 2009 affiche pour sa part déjà complet. Sans vouloir chercher la petite bête, qui n'existe sûrement pas du reste (quoique), les communicants du salon de Genève ne piqueraient-ils pas la crise américaine et ses tristes retombées sur le rendez-vous du berceau de l'auto US ?
Les organisateurs du salon suisse, placé sous le signe de l'émition rappelons-le, annoncent donc que le crû 2009 est d'ores et déjà complet. Mieux une liste d'attente enregistre déjà vingt noms au cas ou des annulations surviendraient. A part ca, pas grand chose. Si, comme le dernier Mondial de Paris, Genève 2009 ne passera pas à côté de la tendance "écologique" bien dans son époque à travers un "pavillon vert dédié aux voitures électriques et propulsions alternatives". Mais du programme nous aurons d'ici le 5 mars prochain le temps d'en reparler de nouveau en détails.
Genève qui rit et Detroit qui pleure. Pendant que la cascade des forfaits ne cesse de grossir outre-Atlantique (avec les absences officialisées en dernier lieu de Nissan et Infiniti), un communiqué de presse des organisateurs du salon suisse annonce que le millésime 2009 affiche pour sa part déjà complet. Sans vouloir chercher la petite bête, qui n'existe sûrement pas du reste (quoique), les communicants du salon de Genève ne piqueraient-ils pas la crise américaine et ses tristes retombées sur le rendez-vous du berceau de l'auto US ?
