Jusqu'à présent, j'avoue que j'étais prudent, pour ne pas dire méfiant, vis à vis de Tesla qui produisait surtout, avec talent certes, de la publicité, et dépensait son capital à vitesse accélérée alors que les voitures restaient essientiellement virtuelles. J'avais tort. Son président Ze'ev Drori, via une note sur le blog officiel du constructeur, vient de donner de très bonnes nouvelles. La production prend enfin de la vitesse et trois nouvelles voitures viennent de se joindre aux neuf déjà livrées. Dont acte.
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Et ce n'est que le début puisque le rythme à partir de maintenant est de 4 voitures produites par semaine (il y a actuellement 27 voitures à différents stades de montage), pour monter à 100 par mois en décembre après que la nouvelle transmission ne débute à la fin de l'été. On est loin de Toyota ou General Motors, évidemment, mais l'entreprise est dorénavant un vrai constructeur.
Pour accompagner l'annonce de ce début de montée en charge, Drori indique qu'une seconde concession vient d'ouvrir a Menlo Park, au coeur de la Silicon Valley, grosse reserve de clients pour Tesla, et que Mike Donoughe, un haut cadre vétéran de 24 ans chez Chrysler, vient d'être recruté pour prendre en charge les études et la production.
Jusqu'à présent, j'avoue que j'étais prudent, pour ne pas dire méfiant, vis à vis de Tesla qui produisait surtout, avec talent certes, de la publicité, et dépensait son capital à vitesse accélérée alors que les voitures restaient essientiellement virtuelles. J'avais tort. Son président Ze'ev Drori, via une note sur le blog officiel du constructeur, vient de donner de très bonnes nouvelles. La production prend enfin de la vitesse et trois nouvelles voitures viennent de se joindre aux neuf déjà livrées. Dont acte.
