par Raphael Caplan

Petite forme de la Kia Carens à l'Euroncap

Alors que la Nissan Qashqai casse la barraque question protection des passagers avant, la Kia Carens se contente d'apparaître dans une honnête moyenne. Elle totalise 27 points et 4 étoiles, ce qui la met plus au niveau de la Xsara Picasso que de la C4 du même nom. En reculant de 175 mm (plancher trop souple), la pédale d'embrayage met en danger le pied et la jambe du conducteur. Des points durs dans la planche de bord agressent les genoux : la Coréenne n'a pas aimé du tout le choc frontal. C'est mieux en latéral.

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Alors que la Nissan Qashqai casse la barraque question protection des passagers avant, la Kia Carens se contente d'apparaître dans une honnête moyenne. Elle totalise 27 points et 4 étoiles, ce qui la met plus au niveau de la Xsara Picasso que de la C4 du même nom. En reculant de 175 mm (plancher trop souple), la pédale d'embrayage met en danger le pied et la jambe du conducteur. Des points durs dans la planche de bord agressent les genoux : la Coréenne n'a pas aimé du tout le choc frontal. C'est mieux en latéral.

La protection offerte aux enfants s'avère convenable (3 étoiles), alors que le capot se montre particulièrement agressif avec les piétons. Le pare-choc très bien conçu évite la bérézina, de peu : 1 étoile seulement.

Si Kia est au top question rapport qualité/prix/équipement, voire comportement dans le cas de la Cee'd, il lui reste encore à progresser dans le domaine de la résistance aux chocs.

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Pour résumer

Alors que la Nissan Qashqai casse la barraque question protection des passagers avant, la Kia Carens se contente d'apparaître dans une honnête moyenne. Elle totalise 27 points et 4 étoiles, ce qui la met plus au niveau de la Xsara Picasso que de la C4 du même nom. En reculant de 175 mm (plancher trop souple), la pédale d'embrayage met en danger le pied et la jambe du conducteur. Des points durs dans la planche de bord agressent les genoux : la Coréenne n'a pas aimé du tout le choc frontal. C'est mieux en latéral.

Raphael Caplan
Rédacteur
Raphael Caplan

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