par Frederic Papkoff

Essai Volvo S80 D5 - Partie 2 - A bord

En prenant place à bord de cette S80, on découvre un univers dont le style ne doit pas qu'au monde automobile. Les références s'orientant plus vers l'univers du mobilier et du monde de la haute fidélité, ce qui change clairement des berlines allemandes. C'est particulièrement le cas sur notre modèle d'essai doté d'une finition intérieure dans des tons clairs avec un dessus de planche de bord chocolat. L'ensemble est certes salissant, mais du plus bel effet, très en accord avec l'extérieur. La finition est quasiment exemplaire, mais quelques matériaux déçoivent, en particulier le plastique lisse et dur de la console centrale.

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Comme à l'habitude chez Volvo, les sièges sont splendides. Leur confort ne fait pas défaut à la réputation de la marque et ils participent activement au confort général du véhicule. Le réglage électrique du siège conducteur propose la hauteur et l'inclinaison de l'assise, ce qui combiné au réglage en hauteur et profondeur du volant permet de trouver une bonne position de conduite.

Face au conducteur, on découvre une instrumentation simplifiée avec deux uniques compteurs. Ils comprennent en leur centre deux écrans LCD circulaires, façon Mercedes Classe E pour les diverses informations d'alertes ou de voyage. Dommage que la jauge de carburant affichée dans ces écrans ne soit pas plus lisible. Les réglages de climatisation et de radio sont simples, mais la présentation de l'écran aurait pu être plus soignée. La navigation reprend le système classique Volvo avec la commande au volant. Une commande pas forcément facile à aborder mais qui s'avère très simple avec l'habitude. Dommage qu'elle ne permette pas au passager de prendre la main.

A l'arrière, l'habitabilité est très correcte pour le segment et y voyager n'est nullement une punition. La place centrale, sans surprise, est à déconseiller pour de longs trajets car trop étroite et pénalisée par un tunnel central très encombrant. Les appui-tête basculent vers l'avant lorsqu'il sont inutilisés (interrupteur sur planche de bord), ce qui oblige les passagers à les remettre en place, question de sécurité

Notre véhicule d'essai était une version Executive, comprenant quasiment tous les équipements disponibles sur la S80, et l'on a ainsi droit à la sellerie cuir, la navigation RTI, les sièges chauffants, l'éclairage directionnel bi-xénon, le toit ouvrant, la téléphonie mains-libres Bluetooth ainsi que l'excellente installation audio Dynaudio. Le tout pour la modique somme de 52.500

Prochain épisode : En route!

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Pour résumer

En prenant place à bord de cette S80, on découvre un univers dont le style ne doit pas qu'au monde automobile. Les références s'orientant plus vers l'univers du mobilier et du monde de la haute fidélité, ce qui change clairement des berlines allemandes. C'est particulièrement le cas sur notre modèle d'essai doté d'une finition intérieure dans des tons clairs avec un dessus de planche de bord chocolat. L'ensemble est certes salissant, mais du plus bel effet, très en accord avec l'extérieur. La finition est quasiment exemplaire, mais quelques matériaux déçoivent, en particulier le plastique lisse et dur de la console centrale.

Frederic Papkoff
Rédacteur
Frederic Papkoff

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