par Christophe Labedan

Rififi sur le podium

La FIA n'ayant pas assez de soucis entre les ingénieurs essayant en permanence de contourner les règles et les patrons d'écurie voulant créer des championats parallèles, voici maintenant qu'elle compte bien remettre de l'ordre chez les pouvoirs politiques. On peut penser que ce n'est pas son rôle, mais il ne faut jamais sous-estimer Max Mosley.

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La FIA n'ayant pas assez de soucis entre les ingénieurs essayant en permanence de contourner les règles et les patrons d'écurie voulant créer des championats parallèles, voici maintenant qu'elle compte bien remettre de l'ordre chez les pouvoirs politiques. On peut penser que ce n'est pas son rôle, mais il ne faut jamais sous-estimer Max Mosley.

Pour résumer la situation en quelques mots, la présence d'un certain Mehmet Ali Talat, invité à presenter le trophée à Felipe Massa en tant que Président de la république du Nord de Chypre. Pour ceux qui connaissent un peu l'histoire du pays, Chypre est dividé en 2, le Nord étant Turc suite à une invasion armée en 74, le sud restant Grec fidèle à ses origines. Seul hic, seul le gouvernement Grec/Chypriote est officiellement reconnu, la république du Nord de Chypre n'étant reconnue que par les Turcs.

La FIA en conclut donc que cette présence 'théatrale' n'avait pour seul but que de provoquer les Chypriotes en imposant officiellement lors d'une cérémonie le soit disant president du Nord de l'ile. La FIA condamne donc se comportement et ne peut en aucun cas accepter d'être le support involontaire d'une mascarade politique.

Reste que le GP de Turquie est plutôt une bonne affaire pour la FOM et que Bernie est plus apte à compter les $ qu'à s'immiscer dans ce genre de vaudeville.

.. à suivre

Source: grandprix.com

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Pour résumer

La FIA n'ayant pas assez de soucis entre les ingénieurs essayant en permanence de contourner les règles et les patrons d'écurie voulant créer des championats parallèles, voici maintenant qu'elle compte bien remettre de l'ordre chez les pouvoirs politiques. On peut penser que ce n'est pas son rôle, mais il ne faut jamais sous-estimer Max Mosley.

Christophe Labedan
Rédacteur
Christophe Labedan

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