par La rédaction

Proximus 24H of Spa (FIA GT) : Cest joué !

Tout est relatif en fait, il est évident que lon parle ici de la pole position ! On se doutait bien que le chrono réalisé ce jeudi soir à Francorchamps ne serait battu, mais histoire de suspense On retrouve donc lAston Martin (5) du quatuor Lémeret/Deletraz/Piccini/Fässler devant les deux Maserati MC12 du team Vitaphone, respectivement Vosse/Davies/Biagi et van de Poele/Bartels/Bertolini. De ces trois voitures, il semble évident que la favorite soit la Maserati. La victoire en 2005 la place effectivement avec la meilleure cote qui soit. De plus, les équipages sont des plus homogènes et très expérimentés. Et si les dires de van de Poele se confirment, à savoir que les temps ont été réalisés avec un moteur « course », une des deux voitures verte et noire devrait rapidement prendre les devants. En collaboration avec Patrick Hayot

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Tout est relatif en fait, il est évident que lon parle ici de la pole position ! On se doutait bien que le chrono réalisé ce jeudi soir à Francorchamps ne serait battu, mais histoire de suspense On retrouve donc lAston Martin (5) du quatuor Lémeret/Deletraz/Piccini/Fässler devant les deux Maserati MC12 du team Vitaphone, respectivement Vosse/Davies/Biagi et van de Poele/Bartels/Bertolini. De ces trois voitures, il semble évident que la favorite soit la Maserati. La victoire en 2005 la place effectivement avec la meilleure cote qui soit. De plus, les équipages sont des plus homogènes et très expérimentés. Et si les dires de van de Poele se confirment, à savoir que les temps ont été réalisés avec un moteur « course », une des deux voitures verte et noire devrait rapidement prendre les devants. En collaboration avec Patrick Hayot

La question est de savoir qui pourra alors contrer lItalienne, de savoir aussi si une consigne du team imposera plus un équipage que lautre ? Sera-t-elle même nécessaire ? Certes, lAston Martin est une superbe auto, mais à Francorchamps, elle doit encore faire ses preuves. Elle est rapide, belle, mais il manque à la DBR9 ce petit plus qui permet de faire la différence. La menace pourrait alors venir des Corvette. Quelles soient C6-R ou C5-R, la différence nétant pas encore vraiment chiffrable, elles ont un rôle à jouer. Pour ce faire, il faut aussi que Dame Météo vienne mettre la zizanie dans cette épreuve. Non seulement, il y aura un nivellement de performance, mais aussi la performance des pneumatiques.

Qui de Michelin, Pirelli ou Dunlop va remporter la batille des Ardennes ? Demblée, on peut dire que Dunlop, en condition optimale, ne sont pas les plus performants. Quant à départager Michelin et Pirelli, cest comme dire choux vert et vert choux ! Si le premier nommé est efficace sous pluie diluvienne, Pirelli reprend lavantage sous condition constante et précipitation normale. Si lon tient compte du paramètre de la distance du circuit, pour rappel Francorchamps développe près de 7 km, la magie du suspense, de limprévu devrait donner une couleur supplémentaire à cette 58e édition !

Pour linstant, la météo est devenue nettement plus supportable et clémente. La canicule se fait vite oublié de par un « modeste » 26° dans la cuvette belge. Ceci dit, on attend quand même quelques chutes de pluies. Et si la nouvelle Porsche 997-RSR mettait tout le monde daccord ?

Vous en saurez plus dimanche

Texte : Patrick Hayot

Photos : RACB

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Tout est relatif en fait, il est évident que lon parle ici de la pole position ! On se doutait bien que le chrono réalisé ce jeudi soir à Francorchamps ne serait battu, mais histoire de suspense On retrouve donc lAston Martin (5) du quatuor Lémeret/Deletraz/Piccini/Fässler devant les deux Maserati MC12 du team Vitaphone, respectivement Vosse/Davies/Biagi et van de Poele/Bartels/Bertolini. De ces trois voitures, il semble évident que la favorite soit la Maserati. La victoire en 2005 la place effectivement avec la meilleure cote qui soit. De plus, les équipages sont des plus homogènes et très expérimentés. Et si les dires de van de Poele se confirment, à savoir que les temps ont été réalisés avec un moteur « course », une des deux voitures verte et noire devrait rapidement prendre les devants. En collaboration avec Patrick Hayot

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