par Patrick Garcia

Opel magnanime

Opel, filiale européenne de Général Motors, vient de recevoir une bonne-mauvaise nouvelle. Alors que le plan initial prévoyait 9500 suppressions d'emplois, les dirigeants se sont rendus compte que pour fabriquer des autos dans un futur proche, quelques personnes s'avéraient plutôt essentielles. Forts de cette tardive prise de conscience, les pontes ont décrété qu'il fallait garder quelques ingénieurs dans le secteur Recherche & Developpement pour s'assurer d'une certaine "sécurité-qualité" dans la conception de futures Opel.

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Opel, filiale européenne de Général Motors, vient de recevoir une bonne-mauvaise nouvelle. Alors que le plan initial prévoyait 9500 suppressions d'emplois, les dirigeants se sont rendus compte que pour fabriquer des autos dans un futur proche, quelques personnes s'avéraient plutôt essentielles. Forts de cette tardive prise de conscience, les pontes ont décrété qu'il fallait garder quelques ingénieurs dans le secteur Recherche & Developpement pour s'assurer d'une certaine "sécurité-qualité" dans la conception de futures Opel.

Il y a parfois quelques éclairs de lucidité chez  les dirigeants qui pensent alors un peu plus stratégiquement. Une vision à moyen terme sûrement plus efficace que le souhait très instantané de rassurer des financiers prompts à vendre leurs actions.
Donc, ce ne seront plus 9500 mais 8000 emplois qui seront rayés des listes de l'entreprise.
Ca ne suffit tout de même pas à me rassurer, ni à me donner le sourire...

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source: Nouvels Obs

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Opel, filiale européenne de Général Motors, vient de recevoir une bonne-mauvaise nouvelle. Alors que le plan initial prévoyait 9500 suppressions d'emplois, les dirigeants se sont rendus compte que pour fabriquer des autos dans un futur proche, quelques personnes s'avéraient plutôt essentielles. Forts de cette tardive prise de conscience, les pontes ont décrété qu'il fallait garder quelques ingénieurs dans le secteur Recherche & Developpement pour s'assurer d'une certaine "sécurité-qualité" dans la conception de futures Opel.

Patrick Garcia
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