L’industrie automobile britannique commence sérieusement à s’inquiéter de la forme que prend le Brexit et le PDG de McLaren, Mike Flewitt, y est allé de son couplet lors du Goodwood Festival of Speed. Il réclame ni plus ni moins que le Royaume-Uni conserve son influence sur la définition des futurs règlements européens en matière d'émissions polluantes dans le secteur automobile.
L’industrie automobile britannique commence sérieusement à s’inquiéter de la forme que prend le Brexit et le PDG de McLaren, Mike Flewitt, y est allé de son couplet lors du Goodwood Festival of Speed. Il réclame ni plus ni moins que le Royaume-Uni conserve son influence sur la définition des futurs règlements européens en matière d'émissions polluantes dans le secteur automobile.
« Actuellement, l’Union européenne a un règlement et vous pouvez utiliser les autorités britanniques pour homologuer le véhicule qui le deviendra automatiquement pour toute l’Europe », a-t-il déclaré. « Cela ajouterait des coûts et de la complexité si les deux divergeaient », a-t-il ajouté. Mais, ce qui inquiète le plus le PDG de McLaren est la perte de son exemption.
À l’instar d’Aston Martin et d’autres petits constructeurs britanniques, McLaren bénéficie d’une exemption qui leur permet de ne pas respecter les mêmes contraintes de pollution que les autres constructeurs.
Source : Automotive News
Source photo : McLaren
L’industrie automobile britannique commence sérieusement à s’inquiéter de la forme que prend le Brexit et le PDG de McLaren, Mike Flewitt, y est allé de son couplet lors du Goodwood Festival of Speed. Il réclame ni plus ni moins que le Royaume-Uni conserve son influence sur la définition des futurs règlements européens en matière d'émissions polluantes dans le secteur automobile.
Retrouvez tous les soirs une sélection d'articles dans votre boite mail.
