Essai Mazda CX-5 : nouvelle référence ? (1/2)
par Nicolas Morlet

Essai Mazda CX-5 : nouvelle référence ? (1/2)

S’il est pétri de qualités, le CX-7 de Mazda n’en reste pas moins des plus confidentiels sur nos routes, la faute à un diesel arrivé tardivement, quand la mode du SUV était déjà descendue d’un échelon. Du coup, Mazda rectifie enfin le tir en présentant le CX-5, un tout-terrain plus compact qui est le premier modèle de production à recevoir l’ensemble des technologies Skyactiv. Et Mazda l’annonce sans ambages : il devrait établir de nouveaux standards dans son segment ! Réaliste ?

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Le CX-5 cumule d’ailleurs les premières, puisqu’outre les technologies destinées à réduire l’impact énergétique de la voiture réunies sous la bannière Skyactiv, il est aussi la première voiture de série de Mazda à reprendre le «Kodo Design». Celui-ci, qui signifie littéralement «l’âme en mouvement» a été aperçu pour la première fois sur le splendide concept Shinari dévoilé au Salon de Genève l’an dernier.

Si le CX-5 reprend donc les codes inaugurés par le concept, il n’en oublie pas de les assagir pour le passage à la production.

La face avant reprend la nouvelle signature de la marque et qui consiste en une ligne multipoints partant d’une extrémité des blocs optiques à l’autre en contournant la calandre par le dessous. Vous suivez ? Il faudra vous y faire car elle sera bientôt commune à l’ensemble des modèles.

La partie arrière se fait plutôt dynamique, avec un hayon plongeant et un petit becquet qui vient coiffer la lunette arrière. De même, la protection inférieure noire qui court sur tout le périmètre de la voiture se fait plus importante sur le bouclier arrière pour se donner de faux airs de diffuseur d’air.

Plutôt agréable à l’œil, le CX-5 reste cependant relativement discret. Certains allant même jusqu’à le trouver presque effacé par rapport à la personnalité affirmée d’autres modèles de la gamme.

Même chose dans l’habitacle, avec un meuble de bord sans fioritures, qui a au moins le mérite de se montrer clair et intuitif dans les commandes qu’il supporte. L’équipement est également généreux puisque le CX-5 sera doté de toutes les dernières technologies en matière de sécurité et de confort comme notamment l’assistant de bande de circulation, l’avertisseur d’angle mort ou encore, la gestion automatique des feux de route.

Long de 4,55 mètres dont 2,7 sont pris sur l’empattement, le CX-5 offre une belle habitabilité à toutes les places, y compris pour les grands gabarits. Le coffre, d’une contenance initiale de 503 litres peut être élargi à la demande grâce à la banquette arrière rabattable en trois parties (40-20-40) qui libère un plancher parfaitement plat. Sa contenance maximale peut alors atteindre les 1.620 litres.

Impossible en revanche de juger de la qualité des matériaux et de leur assemblage, ou de vous détailler la liste des équipements qui seront de série ou optionnels car les exemplaires de l’auto qui nous ont été confiés n’étaient encore que des préséries. La commercialisation effective n’interviendra en effet qu’au printemps prochain.

Lire la suite :

Essai Mazda CX-5 : cocktail dynamisant (2/2)

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Pour résumer

S’il est pétri de qualités, le CX-7 de Mazda n’en reste pas moins des plus confidentiels sur nos routes, la faute à un diesel arrivé tardivement, quand la mode du SUV était déjà descendue d’un échelon. Du coup, Mazda rectifie enfin le tir en présentant le CX-5, un tout-terrain plus compact qui est le premier modèle de production à recevoir l’ensemble des technologies Skyactiv. Et Mazda l’annonce sans ambages : il devrait établir de nouveaux standards dans son segment ! Réaliste ?

Nicolas Morlet
Rédacteur
Nicolas Morlet

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