Quelques heures après les deux enquêteurs de la marque, c’est au tour du directeur de la protection et de la sécurité du groupe Renault Rémi Pagnie d’être mis en garde à vue depuis hier après-midi dans le cadre d’une possible affaire d’espionnage du constructeur français.
Ne parvenant pas à trouver la moindre information fiable montrant trace d’un espionnage chez Renault, la police a placé les deux enquêteurs de la marque en garde à vue vendredi soir pour des soupçons d’ « escroquerie au renseignement ». L’un des deux, Dominique Gevrey, ancien membre de la sécurité militaire, a même été interpellé à l’aéroport de Roissy alors qu’il allait prendre un vol pour l’Afrique.
Depuis samedi après-midi, c’est leur supérieur hiérarchique Rémi Pagnie qui a été mis à son tour en garde à vue.
L’enquête judiciaire cherche encore des traces de l’informateur anonyme qui a contacté les deux enquêteurs de Renault ainsi que des comptes en Suisse et au Liechtenstein.
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Quelques heures après les deux enquêteurs de la marque, c’est au tour du directeur de la protection et de la sécurité du groupe Renault Rémi Pagnie d’être mis en garde à vue depuis hier après-midi dans le cadre d’une possible affaire d’espionnage du constructeur français.
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