Essai Land Rover Freelander TD4 : so Land ! (1/2)
par Nicolas Morlet

Essai Land Rover Freelander TD4 : so Land ! (1/2)

Le Land Rover Freelander s’est offert un léger facelift à l’automne dernier, lors du Mondial de l’Automobile. Une mise à jour aussi discrète que bienvenue qui permet au SUV anglais de se maintenir dans son segment sans dérouter sa base de fidèles clients.

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Car lorsqu’on s’appelle Freelander et que l’on porte un blason Land Rover, pas question de faire n’importe quoi. Le plus petit frère de la fratrie, avant l’arrivée prochaine de l’Evoque, se contente donc du minimum syndical en termes de retouches cosmétiques.

A l’extérieur, les différences les plus notables se concentrent sur la partie avant où, sans avoir l’air d’y toucher, le bouclier et la calandre son entièrement redessinés et se rapprochent ainsi stylistiquement un peu plus encore des Discovery et Range Rover. Les autres modifications tiennent du détail, avec des poignées de portes désormais peintes de la même couleur que la carrosserie, des feux arrière retouchés et un épais jonc chromé qui s’installe sur la hayon.

Dans l’habitacle, les changements sont plus succincts encore puisque seuls les nouveaux coloris d’habillages assurent le changement. Un peu faible, peut-être, mais l’habitacle ne manque pas de charme pour autant et ses arrêtes vives, ses commandes douces sous leurs airs brutes et cet imposant volant renvoient cette sensation que l’on ne retrouve qu’à travers les produits de la marque.

Malheureusement, le Freelander paie en certains endroits son positionnement de "véhicule d’appel" de la marque, et ne profite pas du même souci de perfection dans la finition ou les matériaux utilisés que ses grands frères.

En matière d’équipement, le Freelander ne manque de rien, surtout dans cette version haut de gamme HSE, dotée qui plus est de quelques options. Notre véhicule d’essai était ainsi (richement) doté des sièges chauffants, de la climatisation bi-zone, des sièges à réglages électriques et du toit ouvrant panoramique. Rien de révolutionnaire donc, mais tout le nécessaire pour assurer confortablement les trajets de toutes distances.

Positionné relativement haut dans son segment, le Land Rover Freelander se négocie à partir de 27.950 euros dans sa version de base E, tandis qu’acquérir la version haut de gamme HSE demande une rallonge de plus de 13.000 euros (41.010 euros en France, 40.350 euros en Belgique).

Lire la suite : Essai Land Rover Freelander TD4 : "Land" à part entière (2/2)

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Pour résumer

Le Land Rover Freelander s’est offert un léger facelift à l’automne dernier, lors du Mondial de l’Automobile. Une mise à jour aussi discrète que bienvenue qui permet au SUV anglais de se maintenir dans son segment sans dérouter sa base de fidèles clients.

Nicolas Morlet
Rédacteur
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