par La rédaction

Des écuries de F1 font monter la pression dans "l'affaire Mosley"

Les jours se suivent et risquent de se ressembler terriblement pour Max Mosley. Ce aussi bien dans le domaine professionnel que sur un plan public (on n'évoque même pas sa vie de famille...). Alors que certains attendaient une démission nette de l'actuel président de la FIA, impliqué dans une peu glorieuse histoire d'orgie sado-masochiste nazie, Max Mosley a confirmé qu'il ne comptait nullement déposer les armes. Certaines écuries de Formule1 montent aujourd'hui au créneau...

Zapping Le Blogauto Essai DS3 E-Tense 2023

Les jours se suivent et risquent de se ressembler terriblement pour Max Mosley. Ce aussi bien dans le domaine professionnel que sur un plan public (on n'évoque même pas sa vie de famille...). Alors que certains attendaient une démission nette de l'actuel président de la FIA, impliqué dans une peu glorieuse histoire d'orgie sado-masochiste nazie, Max Mosley a confirmé qu'il ne comptait nullement déposer les armes. Certaines écuries de Formule1 montent aujourd'hui au créneau...

Sans se poser en ardent défenseur de Max Molsey, rappelons tout de même une donnée importante. Le président de la FIA reconnaît sa participation à une soirée sado-masochiste avec cinq prostituées à Londres, et ce sans détours du reste. A contrario il nie farouchement son caractère nazi. On le croira ou pas. On en doutera ou non. On sourira en se rappelant le passé de monsieur Mosley père. "Tel père, tel fils", pas toujours fort heureusement. Reste qu'en tant qu'homme public, relent hitlérien ou pas, s'adonner à ce genre de divertissement peut "logiquement" entraîner une vague de contestations. Max Mosley va traduire le tabloïd anglais (News of the World) en justice. Nous laisserons donc la balance pencher dans un sens ou dans l'autre.

Mais à quelques heures du GP du Bahreïn, certaines écuries décident de faire entendre leur voix, leur désapprobation et la crainte de voir l'image de leur sport souillée. Les Allemandes McLaren Mercedes et BMW Sauber publient un communiqué dans lequel elles expliquent : "Cet incident concerne Max Mosley personnellement mais aussi en tant que président de la FIA. Les conséquences s'étendent donc à l'ensemble du sport automobile. Nous attendons une réponse de la part des dirigeants de la Fédération internationale." Point. Juste une mise au point comme celle formulée, avec moins de diplomatie, par l'écurie japonaise Toyota : "Toyota Motorsports n'approuve pas les comportements qui pourraient porter atteinte à l'image de la F1, en particulier les comportements pouvant être assimilés à racistes ou antisémites." La famille royale du Bahreïn ne tenait pas particulièrement à voir Max Mosley lors de leur GP. Celà tombe bien, il n'effectuera finalement pas le déplacement car retenu à Londres. Max Mosley tiendra-t-il encore longtemps ?

A lire également. Max Mosley : descente aux enfers médiatiques et GP du Bahreïn : Mas Mosley pas en odeur de sainteté.

Crédit photo : Damien Meyer/AFP.

Vous cherchez un véhicule d'occasion ?

Retrouvez des milliers d’annonces sélectionnées pour vous aider à trouver le bon véhicule d’occasion.
Podcast Men's Up Life
 

Pour résumer

Les jours se suivent et risquent de se ressembler terriblement pour Max Mosley. Ce aussi bien dans le domaine professionnel que sur un plan public (on n'évoque même pas sa vie de famille...). Alors que certains attendaient une démission nette de l'actuel président de la FIA, impliqué dans une peu glorieuse histoire d'orgie sado-masochiste nazie, Max Mosley a confirmé qu'il ne comptait nullement déposer les armes. Certaines écuries de Formule1 montent aujourd'hui au créneau...

La rédaction
Rédacteur
La rédaction

La quotidienne

Retrouvez tous les soirs une sélection d'articles dans votre boite mail.