par La rédaction

Essai Porsche 911 Targa 4 : laisser entrer le soleil (1re partie)

Qui a dit quil était impossible dutiliser sa 911 au quotidien ? Sûrement pas celui qui roule en Targa. Dailleurs, ma petite parenthèse du siège enfant a servi damuse-bouche pour cet essai de la 911 Targa 4 et de la 911 Targa 4S. La dernière étant celle dont le test a été le plus long et, surtout, sous un ciel bleu. De quoi vraiment découvrir en profondeur cette 911 au toit coulissant et à lesprit pratique. Un modèle qui se reconnaît directement par le dessin de sa custode arrière et le surlignage chromé au-dessus des vitres latérales.

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Qui a dit quil était impossible dutiliser sa 911 au quotidien ? Sûrement pas celui qui roule en Targa. Dailleurs, ma petite parenthèse du siège enfant a servi damuse-bouche pour cet essai de la 911 Targa 4 et de la 911 Targa 4S. La dernière étant celle dont le test a été le plus long et, surtout, sous un ciel bleu. De quoi vraiment découvrir en profondeur cette 911 au toit coulissant et à lesprit pratique. Un modèle qui se reconnaît directement par le dessin de sa custode arrière et le surlignage chromé au-dessus des vitres latérales.

 

Ya pas à dire, une 911 Targa 4S orange, pardon Or Boréal métallisé, sur le parvis de la maison, cela attire le voisinage. On sort les appareils photos et on est prêt à tout laisser tomber pour une petite balade décoiffante à bord dune voiture qui fait encore et toujours rêver. Et elle mérite son mythe car sa conduite est toujours aussi particulière, même en quatre roues motrices. En effet, pour la sixième génération 911, alias la 997, la troisième génération Targa se dote de la transmission intégrale Carrera 4.

Conduire une 911, cela procure une sensation particulière de plénitude et de vitesse. La Targa ne déroge pas à cette règle. Les accélérations donnent un véritable coup de pied aux fesses et il convient de bien garder le volant dans les mains. Car, si on hausse le ton, on a limpression de diriger un tapis volant. Pourtant, il garde bien les pieds sur terre grâce à lélectronique et à son freinage déchirant le bitume. Et puis, il y a le ronflement ou le rugissement magnifiques du Flat 6 derrière soi.

La 6 cylindres de la Targa 4 est le 3.6 litres délivrant 325 ch (239 kW) à 6800 tr/min avec un couple de 370 Nm disponible à 4000 tr/min. Pour le 0 à 100 km/h la Targa laisse un fifrelin à la Carrera 4 en le réussissant en 5,3 s (contre 5,1 s). Pareil pour la vitesse maxi de 280 km/h contre 285 km/h. Car, elle accueille le même moteur que la 911 Carrera 4 tout en pesant 60 kilos de plus. Un moteur en alliage léger doté des attributs classiques Porsche dont le calage variable de ladmission et de la levée des soupapes VarioCam Plus. La 911 est aussi équipée de quatre soupapes par cylindres, du refroidissement à eau par flux transversal, dun pont de paliers de vilebrequin en aluminium et de la lubrification à carter sec.

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Qui a dit quil était impossible dutiliser sa 911 au quotidien ? Sûrement pas celui qui roule en Targa. Dailleurs, ma petite parenthèse du siège enfant a servi damuse-bouche pour cet essai de la 911 Targa 4 et de la 911 Targa 4S. La dernière étant celle dont le test a été le plus long et, surtout, sous un ciel bleu. De quoi vraiment découvrir en profondeur cette 911 au toit coulissant et à lesprit pratique. Un modèle qui se reconnaît directement par le dessin de sa custode arrière et le surlignage chromé au-dessus des vitres latérales.

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